Moulin à huile de fruits de palme et de palmiste Irak au Congo

   
Moulin à huile de fruits de palme et de palmiste Irak au Congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Moulin à huile de fruits de palme et de palmiste Irak au Congo
  • Les huileries de palme peuvent-elles réduire la déforestation dans le bassin du Congo ?
  • Il est peu probable que les stratégies de durabilité initiées par les entreprises et visant à certifier les huileries de palme soient efficaces pour freiner la déforestation dans le bassin du Congo. Les petits exploitants agricoles sont un moteur de croissance dans le secteur de l'huile de palme dans la région, et des données récentes suggèrent qu'ils défrichent activement la forêt pour s'étendre.
  • Où peut-on cultiver le palmier à huile dans le bassin du Congo ?
  • La plupart des agriculteurs environ 280 millions d'hectares (Mha) de terres supplémentaires propices à la culture du palmier à huile dans le bassin du Congo se trouvent en République démocratique du Congo (60 %), au Cameroun (11 %) et en République du Congo (10 %). %). De nombreux pays fortement boisés du bassin du Congo fixent des objectifs nationaux pour augmenter la production afin de répondre aux demandes nationales et régionales.
  • Qu'est-ce qu'un palmiste ?
  • Un palmiste dans un fruit de palmier. Le palmiste est la graine comestible du fruit du palmier à huile. Le fruit donne deux huiles distinctes : l'huile de palme dérivée des parties externes du fruit et l'huile de palmiste dérivée de l'amande.
  • La production de palmier à huile augmentera-t-elle dans le bassin du Congo ?
  • Superficie des terres allouées la production de palmier à huile a augmenté de 40 % dans le bassin du Congo et dans cinq autres pays principaux producteurs d’Afrique entre 1990 et 2017. Sans intervention, les futures augmentations de production dans la région proviendront probablement de l’expansion plutôt que de l’intensification en raison des faibles rendements des cultures et de la transformation, peut-être au détriment de la forêt.