Ligne de production d’huile de palme fabriquée au Maroc

   
Ligne de production d’huile de palme fabriquée au Maroc
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Ligne de production d’huile de palme fabriquée au Maroc
  • Comment le marché pétrolier affecte-t-il le Maroc ?
  • Le Maroc est directement impacté par ces fluctuations étant donné que le pays importe la quasi-totalité de ses besoins en huiles végétales, oléagineux et tourteaux. La forte dépendance à l'égard des huiles végétales et des produits oléagineux importés a un effet néfaste sur l'économie du Maroc et pèse lourdement sur la balance commerciale du pays.
  • Le Maroc devrait-il développer une filière locale d'oléagineux ?
  • Compte tenu de leur rôle de plus en plus important. Dans la société, le développement d'une filière oléagineuse locale pour réduire la dépendance du Maroc aux importations et faire face aux aléas des marchés mondiaux n'a jamais été aussi d'actualité dans le contexte actuel d'agriculture durable et de souveraineté alimentaire.
  • Quelles cultures sont cultivées au Maroc ?
  • Les principales cultures oléagineuses cultivées au Maroc sont le tournesol, le colza et l'arachide, destinés davantage à la consommation directe qu'à la production d'huile. Leur superficie de culture représente actuellement moins de 1% de la surface agricole utile totale du pays et leur production couvre moins de 2% des besoins du pays en huile végétale.
  • Comment le Maroc répondra-t-il à ses besoins en huile d'ici 2030 ?
  • En ce qui concerne les oléagineux. Dans le secteur, cette stratégie repose sur une augmentation significative des superficies de 32 500 ha en 2019 à 70 000 ha à l'horizon 2030. Elle envisage également d'augmenter le rendement de 12 à 18 quintaux par hectare et la production pétrolière. de 38 000 à 126 000 tonnes. En conséquence, « le Maroc ambitionne de couvrir 10 % » de ses besoins en huile végétale d’ici 2030 au lieu des 2 % actuels.