Continuez à travailler 12 heures sur la presse à huile de palmiste au Cameroun

   
Continuez à travailler 12 heures sur la presse à huile de palmiste au Cameroun
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Continuez à travailler 12 heures sur la presse à huile de palmiste au Cameroun
  • Quelle est l'approche de la production durable du palmier à huile au Cameroun ?
  • >L'approche s'appuie sur des enquêtes de terrain réalisées dans différents bassins de production, notamment dans les régions du Sud-Ouest, du Littoral et du Centre. Ils prennent également en compte les résolutions de différents ateliers réunissant les acteurs sur la question de la durabilité de la filière palmier à huile au Cameroun.
  • De nouvelles plantations de palmiers à huile pourraient-elles être établies au Cameroun ?
  • >Jusqu'à 20 millions d'hectares de nouvelles plantations de palmiers à huile. des plantations de palmiers à huile pourraient être établies dans cette région au cours de la prochaine décennie. Rien que dans la zone forestière du Cameroun, plus d'un million d'hectares sont désormais ciblés par les sociétés de production de palmiers à huile. Cette culture générerait un développement indispensable en Afrique et augmenterait les approvisionnements alimentaires mondiaux.
  • Le Cameroun continuera-t-il à importer de l'huile de palme en 2020 ?
  • >Pour 2020, le gouvernement camerounais a autorisé l'importation de 70 000 tonnes de CPO. Au Cameroun, la superficie consacrée au palmier à huile va probablement continuer à augmenter pour plusieurs raisons. Premièrement, le Cameroun est un importateur net d’huile de palme et, avec une population croissante, sa demande augmente également.
  • Pourquoi travaillons-nous au Cameroun ?
  • >Nous travaillons au Cameroun pour sensibiliser à l’importance de l’huile de palme durable. production en Afrique, et veiller à ce que l'expansion de l'industrie n'entraîne pas la destruction des forêts primaires et à haute valeur de conservation et de la faune qui y est associée, et garantisse les moyens de subsistance des communautés locales et des peuples autochtones.