Technologie Machine à huile de palme au Cameroun

   
Technologie Machine à huile de palme au Cameroun
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Technologie Machine à huile de palme au Cameroun
  • Qu'est-ce que la production de palmier à huile au Cameroun ?
  • Aujourd'hui, la culture et la transformation du palmier à huile au Cameroun s'effectuent à différentes échelles de production. Ci-après, nous désignons les usines détenues et exploitées par des entreprises agro-industrielles comme des usines industrielles. Toutes les autres usines, appelées usines non industrielles, varient considérablement en termes de conception et de fonctionnement.
  • Le défrichement des forêts augmente-t-il la production d'huile de palme dans le sud-ouest du Cameroun ?
  • Nous avons constaté que 73 Pourcentage de producteurs de palmiers à huile du sud-ouest du Cameroun ont déclaré avoir défriché la forêt pour étendre la culture, sur la base d'une enquête menée auprès de 546 exploitations. L'ampleur de l'expansion s'explique par les différences dans les stratégies d'extraction de l'huile de palme et dans l'intégration de la chaîne d'approvisionnement.
  • Y a-t-il un écart potentiel de rendement du palmier à huile au Cameroun ?
  • Au Cameroun, nous avons constaté que le palmier à huile les rendements étaient en moyenne de 5 à 7 tonnes de FFB par ha ?1 dans toute la zone d'étude et dans tous les groupes de producteurs, « bien en dessous du rendement potentiel de 20 tonnes de FFB par ha ?1 pour le pays (Nkongho et al., » 2015). L'écart de rendement important laisse entrevoir une opportunité majeure d'augmenter la production des champs de palmiers à huile existants.
  • Le développement non industriel du palmier à huile affecte-t-il les forêts primaires du Cameroun ?
  • De même, « Ndjogui et al. (2016) ont constaté que 71 % des petites plantations de palmiers à huile au Cameroun se sont étendues aux forêts secondaires et 5 % aux forêts intactes. Ces résultats suggèrent que les exploitations non industrielles de palmiers à huile ont un impact moindre sur les forêts primaires.